Rendez-vous vers le démon à l'Étoile du Nord

Madriel se laissa faire sans rien dire. Il hocha la tête en direction de Nereza. Dans le language de Madriel ça voulait dire merci.

-Si j'peu faire autre chose pour aider, cicatriser le tout, aller te chercher quelque chose, peu importe...
-Nerezza. Ça va aller.
- Est-ce.... est-ce fini? Ou est Unkaviel?
-Unkaviel...

Madriel regarda tout autour de lui. C'est vrai ça, il était ou Unkaviel? Quelque instant plus tard il apparut, marchant en leurs direction. Madriel pointa alors a Nerazza ou se trouvait Unkaviel. Puis il le regarda un moment. C'était a peine si il avait une blessure. Et lui Madriel était presque a terre. Avec l'aide de Nerezza il se leva debout.

Il fit rapidement mit sur pied avec l'aide d'Unkaviel. Plus aucun démon ou zombie n'était hostile maintenant. Ceux qui n'était pas déjà parti était en train de le faire. La bataille était finit.

- Unkaviel!!! Tu vas bien a c'que j'vois!

La nuit qui passait, me rendait tranquilement ma bonne humeur.
J'alla alors faire un bref calin a Unkaviel, mais celui-ci me parrut momentanément très long.

* Quelle... étrange sensation.. J'en ai des frissons. Ce... n'était pas comme ca la derniere fois. Je.. j'aime cette étrange sensation, c'est effrayant, mais si attirant...*

- Heum.. heum bon heum, ca va bien? Qu'est-ce qui s'est passé? T'étais rendu ou?... et puis on fait quoi maintenant?

Madriel alla ramassa son épée planté dans le sol un peu plus loin. Puis se dirigea vers l'auberge.

Si on allait parlé à l'intérieur un moment?

Madriel s'assit sur un chaise autour d'un table. Seul une chandelle en plein milieu de la table allait éclairé ce que Madriel avait à dire au deux autres. Il attendit qu'il soit confortablement assit, du moins le plus de confort que les chaises miteuse pouvait leurs offrir.

Il serait temps que je vous dise a qui nous allons avoir affaire. Le nom du démon que nous pourchassons est Balzahir. Mais c'est bien loin d'être un simple démon. Contrairement a tout ceux que j'ai combattu jusqu'à maintenant, celui est.... invincible. On aura beau tout essayer, les lames ou bien la magie, rien ne l'atteint. Au moins l'avantage c'est qu'il est totalement inoffensif. On ne peut le blesser mais lui non plus ne peut rien nous faire... directement. Le problème est qu'il a sa disposition une quantité assez impressionnante de serviteur et d'esclaves, un armée complète. Jadis il a envoyé cette armée conquérir Divanie en son nom, mais fort heureusement il a été vaincu juste avant la bataille. Les moyens utilisé pour le vaincre reste un mystère.
Ce que je crains soit qu'il soit de retour en ce monde et il est certain que son armée n'attend qu'un mot pour se réunir à nouveau. Ce que nous devons faire c'est trouvé un moyen de bannir ce démon à jamais de ce monde. C'est pour ça que nous devons nous renseigner à son sujet et les meilleur informations qu'on peut trouvé sur un démon se trouve au plaine rouge.
Je l'est déjà combattue, il me connait et me voue une profonde haine. Il faudra donc resté discret. Il ne nous affrontera jamais directement mais si il nous repère, il nous enverra fort probablement plusieurs embuches.
Alors, toujours partant?

Rien ne certifiait que ce qu'il disait était vrai ou même probable, voila pourquoi il avait attendu avant de leurs dévoilé le but de l'expédition. Si ils ne le croyait pas sur parole, alors certainement qu'ils allaient pensé qu'il était complètement fou. Et si c'était le cas il allait devoir leurs prouvé l'existance de Balzahir, chose qu'il aimerait bien s'évité.

Zaquafaël fut soulagé de voir que Madriel acceptait ses soins et ne semblait pas se rendre compte de la présence du quatrième membre de leur petit groupe. Ainsi, il n’avait pas menti en disant que sa présence serait indécelable. Une excellente chose, vraiment. Zack n’avait absolument pas envie de mourir pour l’instant. Quand Madriel se leva, il pouvait se tenir droit sans problèmes et les invita à entrer dans la maison. L’archange pouvait profiter de ce temps pour poser quelques questions au nouvel occupant.

- Alors, je peux savoir avec qui je vais devoir vivre.
- Comment ça?
- Ton nom?
- Qu’est-ce que tu en as à foutre?
- Réponds simplement à la question.
- Barraka, mon nom c’est Barraka.
- Je peux savoir pourquoi tu as été surpris par ma question.
- Quoi?
- Tu m’as dit tout à l’heure qu’on pouvait lire dans les pensées l’un de l’autre, pourtant tu n’as pas vu venir la question.

Le démon bredouilla. Cela fit bien rire le chasseur de démon. On peut bredouiller avec sa voix simplement parce qu’on c’est enfourché dans notre langue, mais, lorsque l’esprit bredouille, alors là il est clair que la question prend de court celui visé. Ainsi, l’archange venait de comprendre quelque chose d’important. Oui, il pouvait lire les pensées du démon et il pouvait lire les siennes, mais certains détails pouvaient aussi être cachés. C’était une connaissance très intéressante.

De son côté, Brakron enragea. Bien sûr qu’il savait qu’il n’aurait pas toutes les pensées de l’archange en direct, mais il aurait espéré que lui ne le sache pas tout de suite. C’était manqué de chance. Une de ses cartes abattues après aussi peu de temps, c’était ridicule. Il ne restait plus qu’à espérer qu’il puisse en cacher suffisamment longtemps. En espérant qu’il n’ait pas pris possession du mauvais corps.

Une fois à l’intérieur. Zaquafaël écouta attentivement ce qu’avait à dire Madriel. Un démon invincible? Quelle joie! Non, mais sérieusement, pourquoi Madriel les prenaient-il? Des demi-dieux? À croire qu’il s’attendait d’eux qu’ils puissent ce mettre à dos tout l’enfer et arriver en s’en tirer. C’était vraiment ridicule comme idée, mais il suivrait assurément Madriel dans sa quête. Il ne restait plus qu’à espérer que l’émotion diffuse qu’il avait ressentie et qui émanait de Brakron signifiait qu’il savait comment triompher de lui et non pas qu’il était simplement apeuré. Si seulement il savait que c’était plutôt de l’excitation.

*Un démon invincible..bien sur. Moi petite elfe, moi tuer démon invincible. En ville on me sousestime et maintenant on me surestime! A se demander ce qui est le meilleur...*

Je pris place a coté de mes compagnons. Au point ou j'en était, que je me fasse tuer par un démon, ou que je me tue a cause des citoyens elfes du village, bref quel changement! Madriel devait surment attendre ma réponse, mais j'étais incapable de réfléchir et de prendre une décision sage. Sans oublier ma nouvelle fixation chez Unkaviel. Qu'est-ce qui pouvait donc s'être passé avec lui. Le voila qui souriait ou bien "riait dans sa barbe" subtilement. Assez subtilement pour mettre en doute ma perception de cela. Avec la fatigue je pourrais simplement commencer a halluciné n'importe quoi. C'est a se demander si ma perception de Madriel et celle d'Unkaviel n'était simplement pas entrain de s'entrechevaucher. Maintenant que Madriel nous avait tout dit, tout parraissait plus clair et je n'y voyais plus de raison de douter de lui et de ne plus y faire confiance. Mais pour Unkaviel...

*C"est clair que je le trouve changer... Un de ces jours.. je saurai ce qui s'ait passé cette nuit...*

Chaque fois que je croyais voir Unkaviel s'apercevoir que je l'observais, je détournais la tête et tentait de réfléchir a la propostion de Madriel. Pourtant, bien trop souvent, je me reperdais dans les cheveux scintillants d'Unkaviel en oubliant la mission et en me posant beaucoup trop de question, en oubliant de repondre a la plus importante bien sur.

*Bon bon aller, un peu de concentration, aller me faire tuer par un démon, ou retourner moisir au village.... *(soupir)*... quel dur choix, exaspérant! Enfin... entre se laisser mourrir a ne rien faire et mourrir en combatant.. alors la aumoin il y a une bonne raison pour le faire!*

- C'est d'accord Madriel, *(évitant le regard d'Unkaviel)* Je te suis.

Madriel vit dans le visages de leurs compagnons une certain incertitude. C'était bien normal après tout. Mais si ils réussissaient a trouvé un moyen de l'anéantir définitivement avant qu'il lève son armée, la mission resterait facile. L'archange examina ses compagnons un moment. D'un côté, il avait ce qu'on pourrait appeler un mercenaire bénévole et de l'autre une jeune elfe un peu perdu. Unkaviel ne poserait pas de problème tant que sa loyauté envers Alarii ne serait pas brimé. Mais pour Nerezza, Madriel se posait de sérieuse inquiétude. Elle l'avait rejoint alors qu'elle semblait désespéré, et maintenant Madriel avait l'impression qu'elle restait pour Unkaviel. Si Unkaviel avait le même tempérament que Madriel sur ce genre de chose, Nerezza allait frapper un mur. Ses émotions étaient instable. Il allait devoir gardé un oeil sur elle.
Quand il l'avait rencontré, elle avait dit qu'elle ne savait pas qui elle était. Peut-être qu'elle serait plus stable si elle le découvrirait. Mais pour le moment, Madriel n'avait aucune idée de comment l'aider sur ce point. Autant se concentré sur l'objectif principal pour le moment.

Parfait! on part dès demain! Les plaines rouges devraient être a trois jour d'ici a dos de cheval. Alternons les tours de gardes en tranches d'une heure, en commençant par moi. On se voit demain ici même pour le départ. Reposez vous bien.

Puis Madriel leurs tourna le dos, se mettant face a la porte encore ouverte. Il mit ses poings sur ses hanches guetta les alentour d'un regarde perçant. Quelque secondes plus tard il pencha légèrement vers l'arrière pour finir par tomber sur le dos raide comme une planche. La fatigue avait encore une fois prit le dessus.

Zaquafaël trouvait très étranges les regards en coin que lui envoyait Nerezza. Il ne comprenait toujours pas pourquoi il était le centre de toute cette attention. Parfois, il tentait d’intercepter le regard de l’elfe, mais elle le détournait dès ce moment précis. Zack était doué pour déceler les émotions des autres dans leurs regards, mais le reste du temps, il ne comprenait pas grand-chose. Quand il entendit rire Brakron, qu’il croyait nommé Barraka, il fut vraiment énervé, à croire qu’il avait compris quelque chose que l’archange ne devinait toujours pas. Il se retourna vers Nerezza.

- Va dormir, je vais prendre un double tour. Je réveillerai Madriel ensuite alors dort bien. Oh et pendant que j’y pense, Unkaviel, c’est mon nom de famille. Mon prénom c’est Zaquafaël, appelle-moi Zack si tu préfères.

Zack alla se poster dans le cadre de la porte et regarda à l’extérieur en attendant que les deux prochaines heures passent. Pendant ce temps, il se questionnerait sur les raisons de ces regards que Nerezza lui envoyait. Après tout, il n’y aurait probablement pas d’autre accident ce soir

HJ : Madriel, tu es aussi bien de sauté directement au matin en même temps, je doute que ce soit nécessaire de jouer les tours de garde

Sans même regarder Zack, je me dirigea tête bessée vers ma chambre. Je m'assis dans un coin et déroula le bandage "maison" que je m'était faite autour du molet. En l'enlevant, des morceaux de peau, de sang séché et de pue suivirent sur le bandage.

*(haut le coeur)*Je n'ai jamais vu une blessure aussi dégeulasse...*

Il y avait des bosses de pue et du sang séché partout, la blessure avait du grossire de 50% depuis l'attaque. Mes veines étaient toutes boursouflées et on aurait juré que ma jambe allait exploser. J'attacha un morceau de linge autour de ma tete et le mit dans ma bouche. Un autre petit coup de feu pour cicatriser et ca devrait aller.

*(dents serrées)* Atroce... l'odeur n'aide pas a cacher la souffrance en plus!*

Je refis mon bandage et le cacha comme si de rien était. Je pris quelques minutes a tenter d'oublier la souffrance, le regard rivé sur cette fameuse maison. Pris d'un coup de tête, je pris mes bagages et me dirigea vers l'entré de ma chambre, vellant a rester bien cachée.

*Madriel dort, Zack surveille... il a l'air bien occupé à l'entrée... Je m'éclipse.*

Je sorti par ma fenêtre et alla rejoindre mon cheval.

-Salut toi! *(henissement de cheval)* chut chut! tu vas me faire repérée! *(henissement)* chut! Ce n'est qu'une petite balade de nuit, je vais revenir au matin c'est promis. Je ne t'abandonne pas belle bête!

Puis je partis en direction de la maisonette. Une fois arrivée, je retourna dans la chambre ou j'avais voulu m'installer plus tôt.

-Aie aie aie... c'que c'est le bordel ici. Tiens.. mais quest-ce que..

Je me pencha et trouva un petit objet scintillant au sol. Un colier très simplet en or très fin, avec au bout un petit pendantif en rubis. En tirant dessus, un squelette se déterra, a moitier moisi. Je tomba ainsi figée, une souvenir me revint.

La dame, pris sa petite fille dans ses bras et mit la main sur son colier en or et rubis.
-Nous allons te porter a un endroit plus prudent pour toi. Une fois la-bas, je te donnerai ce colier. Ne le perd jamais, il sera ta protection et te sera très utile.
-Dépêche, avant qu'ils ne reviennent.
Comme ces mots finirent, une flèche toute blanche, d'une lumière scintillante, vint percuter la femme en pleine tête. Cette dernière tomba et Nerezza tomba tête premiere dans la marre de sang.
- NONNN! Je te vangerai.. je te vangerai ma femme c'est promis! Et je sauverai notre fille!
Sur ce, le père sorti de la maison, la petite dans ses bras.

Je m'écroula a nouveau sur ce squelette, comme je l'eu fait précédemment dans la marre de sang de ce cadavre, au même endroit. Puis, j'enroula le colier autour de mon poignet et me colla contre ce cadavre.

- Ainsi... c'est ici que nous étions... c'est ainsi que tu es... morte.... maman...

Puis je m'endormie, comme une petite fille, au cou de sa maman.

Madriel se réveilla le lendemain en sursaut.

Hen?! quoi!? Comment?!

Il regarda autour de lui en vitesse l'air perdu. A côté de lui se trouvait Unkaviel. Dehors il faisait jour. Nerezza et lui devait avoir fait le gai tout la nuit.

''Bon sang... J'ai vraiment dormir toute la nuit... Fait chier... J'ai l'air de quoi maintenant. C'est pas normal, je ne dors jamais si longtemps et jamais aussi profondément. M'enfin, on doit partir.''

Il regarda droit dans les yeux Unkaviel d'un regard froid. Visiblement, Madriel ne voulait rien entendre sur le fait qu'il avait dormit toute la nuit.

-Unkaviel. Nous partons. Je vais chercher Nerezza en haut, on se rejoint a l'étable.

Puis Madriel monta les escaliers menant au chambre. Il était encore fatigué et ses mouvements était lent. Ce qu'il trouva dans la chambre, ou plutôt ce qu'il ne trouva pas le réveilla d'un coup. L'elfe n'était pas la et la fenêtre était encore ouverte.

Ha non c'est pas vrai... UNKAVIEL!!!

Madriel descendit en trombe voir Unkaviel.

Nerezza, elle a disparut. Elle est peut-être encore proche, retrouvons la. J'espère pour elle qu'elle s'est fait enlever...

HJ: Bon j'ai fait un pas mal gros saut dans le temps j'espere que vous aviez pas l'intention de faire quelque chose durant la nuit :S Je te laisse le soin de retrouvé nere zacky!

Parti dans ses pensées, Zaquafaël regarda à l'extérieur toute la nuit, quand il vit le soleil se lever lentement, il se dit qu'il devrait réveiller Madriel. Le pauvre, avoir sommeil à ce point en étant un archange, il devait être très faible. Il décida toutefois de ne rien faire, il avait tant de choses à penser, à comprendre, à décider. La dernière journée avait été à peine croyable pour l’archange. Déjà, il était revenu sur Terre, ensuite il y avait eu cette foule en délire, puis le combat contre les forces démoniaques et finalement, ce démon qui était parvenu, il ne savait pas trop comment, à entrer dans son corps. Tout cela avait totalement déséquilibré l’archange qui ne ressentait plus les choses comme il le faisait avant de venir sur Terre. Il devait déjà admettre que les mortels avaient de quoi être fière de survivre aussi longtemps.

Quand Madriel se réveilla, Zack se retourna et regarda son maître avec un petit sourire au coin des lèvres. Celui-ci avait un regard qui était pourtant clair sur le fait que ce n’était pas le temps de rire. Mais quelque chose au fond de Madriel était amusé justement par le fait qu’il faisait exactement l’inverse de ce que Madriel voulait. Il le vit ensuite monter au second aller chercher Nerezza. Zack s’étira différend muscle en attendant. S’échauffant un peu pour le voyage qui allait continuer. Il était prêt à affronter n’importe quel démon qu’ils pouvaient croiser. Sauf que le premier obstacle de la journée n’était pas ce à quoi il s’attendait.

Quand il entendit Madriel hurler son nom, il soupira. Qu’est-ce qu’il pouvait bien avoir fait qui mérite un hurlement d’abord! Tout ce qu’il avait fait en eux c’était de réparer une chambre, il ne lui en voudrait sûrement pas pour ça. Quand il apprit la nouvelle de la disparition de Nerezza, Zack se demanda pourquoi Madriel réagissait comme ça pour une nouvelle somme toutes assez moyenne. Il prit quand même le temps de réfléchir à ce départ et réalisa bien vite où la jeune elfe devait être partie. Elle avait déjà dit qu’elle voulait aller dormir dans une petite maison pas tellement loi. Sans rien dire et en marchant, il sortit de l’auberge et se dirigea vers la petite maison. Rendu là-bas, il s’accota dans le cadre de la porte et regarda la jeune elfe endormi. Zack affichait un air contrarié qui s’exprimait d’une part par le cri de Madriel et le fait qu’elle dormait paisiblement. Une autre force en lui envoyait aussi une autre raison. Il était contrarié de l’avoir trouvé et qu’elle soit saine et sauve.

Madriel suivit Unkaviel jusqu'à la petit maison. Quand il arriva, ce qu'il vit le glaça sur place. Nerezza qui dormait a côté d'un cadavre.

''Bon d'accord... elle est complètement timbré.''

L'archange reprit ses esprit subitement par une monté de colère. Il cria le nom de Nerezza pour la réveiller. Et si ça ne marchais pas il l'a secoua.

Qu'est-ce qui ne tourne pas rond chez toi?! Tu sort en plein milieu de la nuit, dans un milieu hostile, sans nous avertir, et le lendemain on te retrouver couché auprès d'un cadavre! En plus d'être assez louche t'est complètement inconsciente?!
Bon, vue que tu a bien dormis a ce qu'on peut voir. Tu vas être frais et dispo a allé préparé les chevales hein? On part dès maintenant.

Le cri de Madriel me réveilla en sursaut. Cela me prit d'ailleur un bon 30 secondes avant de me rapeler ou j'étais et pourquoi. Lorsque mes souvenirs de la veille me revinrent, je m'assis en attachant le colier a mon cou et en regardant mes compagnons de route.

- J'suis désolée... Je.. enfin. Je n'aurais pas pu m'imaginer que ma perte aurait pu vous déranger...

* La journée commence plutot mal... on dirait que pour une fois, le soleil du jour n'affectera pas trop mon moral. Enfin... on verra bien plus tard.*

- Je vais aller préparer les chevaux, ca me fera bien plaisir *(En plus de me changer les idées)*.

Je me retourna alors vers le cadavre, le regard rivé sur le crane totalement dépouillé de chair, fais maintenant que d'os bien sec. Je me pencha sur ce dernier et lui déposa un légé baisé.

- Tu es pardonnée... je comprend ton geste.

Je parti pour me relever, mais je me retourna a nouveau vers ce squelette.

- Je t'aime très fort, je ne t'oublierai jamais. Merci pour tout... Aurevoir maman...

Puis je me leva et disparu a l'extérieur, me glissant doucement comme une ombre, vers l'étable.

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Une fois rendu, je commenca par nourrir les chevaux de mes partenairs en les brossant et en les lavant, m'assurant qu'aucun des deux ne soit blessé et soit en état de voyager.

- bien... très bien...

Puis je m'occupa de Sperenza, mon cheval. De l'eau, de l'herbe, un bon petit lavage et un petit coup de brosse. Faut dire que pendant ces moments, ces moments ou j'apprécie la compagnie des animaux, une bulle imaginaire se forme autour de moi et rien d'autre ne me préocuppe.

- Tu va voir Sperenza, tu vas être magnifique. Mange bien, on a une longue route a faire.

* Maman...*

Une goute vint perler au coin de mes yeux.

* Non... elle aurait voulu que je sois plus forte. Aller Nerezza, laisse la lumière pénétrer en toi, fait revivre ton sourir, aumoin maintenant tu en sais plus sur ta vie. Autant mieu mettre cela de coté et me concentrer sur la quête. Je ne dois plus les décevoir.*

Il faisait si longtemps qu'il n'avait pas marché sur ces terre, bien qu'il ne ''marchait'' pas a proprement dit. Tout avait tellement changer depuis sa dernière fois. Il examina bien les lieux et puis, il finit par trouvé quelque chose, ou plutôt quelqu'un qui le surprit.

Oh

La poussière de terre désolé environnante se souleva par un léger vent soudain et sinistre. Au loin, un nuage noir approcha lentement. Une fois assez proche du groupe le nuage descendit pour formé une silhouette humanoïde. Un être complètement noir apparut donc devant eux. Tout ce que l'on pouvait distinguer de son visage était des yeux reptilien et un sourire sournois. Il approcha sans trop de crainte de Madriel jusqu'à être nez-a-nez a lui.

Était-ce si compliqué de rester mort Madriel? Hum... Tu vas voir... tu vas regretter ta tombe.

Il mit rapidement sa main autour de sa gorge.

Comme j'aimerais te broyer par moi-même.

Il serra sa main d'un coup. La main se transforma aussitôt en nuage noir, semblable a celui aperçut auparavant.
Balzahir aperçut alors les deux autres. Il était tellement surpris de voir l'archange qu'il ne les avait pas remarquer.

Et bien, qu'avons nous la. Un autre être de lumière et... une petite elfe. Je vais vous faire grace de ma divine bonté et vous donné un petit conseil. Ne vous mettez pas entre moi et Madriel. Je le veux mort, a tout prix. Même s'il venait me supplier a genoux de l'épargnez, je le ferait tuer de la pire manière qu'il me viendra a l'idée. Mais pour vous.. c'est bien différent. Je serais prêt a vous laissez la vie si vous vous écartez. Et si vous êtes désireux de profité encore plus de ma grande générosité, vous pourrez même vous soumettre a ma volonté. Ceux qui en font autant sont toujours récompensez, grandement. Mais ceux qui refusent... meurs.

Toi, l'autre archange. Sera tu aussi entêter que ton camarades des cieux? Tiens tu aussi peu a la vie que lui? Serait-tu prêt a trahir ta déesse en mon nom pour ton salut?

Et toi, l'elfe. Que fait-tu avec des êtres pareil? Tu crois qu'il te seront d'une quelconque utilité? Peut-tu considéré le moindre d'entre eux comme un être chère? Que peuvent-il bien t'apporté? Les sbire d'Alarii sont si simplet et inutile. Tu devrais voir les miens.

Si vous faite les bon choix dans le futur vous deux, vous serez récompensé, grandement récompensez.

Vraiment, Madriel en mettait un peu trop au gout de Zaquafaël. D’accord, Nerezza était effectivement totalement timbré, mais il avait déjà rencontré des personnes qui avaient de bonnes raisons d’êtres fous à lier. Et pour Zack, il semblait clair que Nerezza avait traversé des épreuves très dures. Elle n’était pas un archange, elle n’avait qu’un esprit faible et malléable, elle ne pouvait se défendre contre toutes les invasions psychologiques extérieures. Toutefois, l’archange ne dit rien à ce moment-là, il emmagasina plutôt sa rage pour la déployer à un autre moment. Ou plutôt, Brakron emmagasina cette rage en question.

Il regarda partir Nerezza vers les écuries, après quelque temps, il se décida à aller la rejoindre. Il n’avait que faire de savoir ce que Madriel voudrait qu’il fasse. Il se rendit donc à la petite écurie et alla flatter le museau du cheval qui frappa le sol avec un de ses sabots. Il était impatient de partir pour la nouvelle étape de leur quête, ou peut-être avait-il simplement peur de rester ici plus longtemps. Ça n’avait pas vraiment d’importance en faites. Un instant, il eut quelque chose à dire à Nerezza, une chose importante qu’il oublia d’un coup pourtant.

Zack n’avait pas vut le nuage noir, il n’était tombé que sur la version humanoïde du démon. Il fut paralysé de terreur un instant. Puis il comprit que lui-même n’avait absolument pas peur, mais que son démon, lui, était purement et simplement effrayé. Il voulait pousser l’archange à aller se tapir dans un coin ombragé de la place, mais Zack résista. Lui même n’avait rien à faire de la présence du démon, car pour lui, il n’était pas encore un danger réel. Si seulement il avait connu la force incroyable de Balzahir. D’ailleurs, il en apprit un peu plus quand les yeux du démon se posèrent sur lui, il sentit le charisme incroyable dont il faisait usage. Sauf qu’il fit quand même une erreur. Zack était plus solide qu’il en avait l’air et lui offrir de tromper sa déesse, c’était une erreur incroyable. L’archange se renfrogna et l’effet de charisme se dissipa un peu.

- Écoute-moi bien, démon. Je ne sais pas pour qui tu te prends, mais jamais je ne tromperai ma déesse. Je ne sais pas encore comment, mais moi-même et mes amis ici présents, nous trouverons le moyen de t’éradiquer. Cela est notre devoir et nous y arriverons. Tu n’es rien, tu n’es même pas matériel. Tu peux peut-être nous envoyer tes armées, mais elles seront brisées comme elles les furent autrefois. Tu as perdu une fois, tu perdras à nouveau. Ton ancienne forme n’était pas assez forte, ta nouvelle est encore plus faible. Ne reviens plus nous importuner inutilement, nous te trouverons nous même.

Ancienne forme? Quelle ancienne forme? Brakron ne voulait pas répondre à la question. Il savait quelque chose et l’avait suggéré à l’esprit de l’archange. Il avait une vision d’une forme antique, floue, mais surtout, immense. Sauf qu’il ne la voyait pas parfaitement. Cela était bien curieux.

HJ: Désolé pour l'attente, j'étais chez mes parents. Je ne serai pas présent jusqu'a jeudi et ensuite je reviendrai actif comme je le suis habituellement. D'ici là, amusez vous bien ^^

Suite a ma derniere larme, je me repris en main en m'assis quelque seconde devant le soleil. Je pris le pendantif du colier a mon cou, dans mes mains et le cressa du bout du doigt. Je pris alors quelques instants pour sentir la douceur et la chaleur de ces rayons et le sourrir me revint.

*Maman... maintenant je sais que c'est toi, c'est toi qui me rend heureuse le jour. Ces rayons de soleil... en fait ne sont que des caresse d'espoir que tu m'offre pour me rassurer et me réconforter...*

Puis je vis Zack et Madriel entré. J'accouru vers en leur faisant un bref calin.

- BON MATIN!!!! * ^.^ * J'ai bientot fini avec les chevaux, nous pourront bientot partir! * ^.^ *

Puis je repartis en gambadant vers les chevaux terminer ce que j'avais a faire.

-------------arrivé de Balzahir----------------

Je ne m'était rendu compte de ce nouvel arrivant seulement lorsqu'il s'en prit a Madriel et que Zack lui répondit. Je me retourna alors vers lui, mais cachée derrière mon cheval je frissonais de peur. Puis, son regard croisa le mien et me fit tomber dans une sorte de transe.

- *(Chuchottements, très bas, a peine perceptibles)* Wow... quel regard percant. C'est si chaud, si douloureux... mais si apaisant a la fois. On aurait dit... un coucher de soleil, au bout de la mer, qui m'entraine tendrement vers lui sur un petit bateau a voile, traversant doucement chaque vague sans peine.

Puis je me mit a avancé vers lui tranquilement, comme si on me trainerais par le bou du menton, les yeux rivé sur lui.

*Qu'est-ce que... qu'est-ce qui me prend? J'ai ... jai ressenti cela au paravant. *(flash back de l'arrivé de Zack dans l'aventure)* Zack...? Lui aussi m'a impressionné, mais pas .. de la même facon. C'était plus doux.. moins douloureux... mais moins attirant...*

Je me retourna une fraction de seconde vers Zack, lui tendant ma main, continuant ma route vers le démon. Mais je rebaissa celle-ci et continua d'avancé vers le démon, le regard rempli de question et rivé sur lui.

Madriel sentit de loin la présence de balzahir. Il l'a connaissait trop bien pour qu'elle passe inaperçu. Il se tourna vers le nuage noir. A la vue de ce dernier, il fut figé sur place. Il ne s'attendait pas a voir son ennemi aussi tôt, il n'avait pas chaumer a faire son retour sur le terre des mortels. Il l'écouta sans rien dire, ne s'étant pas encore remit de sa stupéfaction. Il le laissa le ''toucher'' car de tout façon il savait bien qu'il ne pouvait rien lui faire. Il secoua alors la tête pour reprendre ses esprits. Il allait le détruire coute que coute, il trouverait un moyen. Mais quelque chose le troublais encore. Il n'avait jamais vu la colère du démon, cette colère qu'il semblais n'éprouvai que pour lui. C'était surement mauvais signe, très mauvais. Madriel allais devoir resté sur ses gardes. Puis le démon commença a essayer de corrompre ses alliés, ce qui le mit hors de lui.

Tu n'a rien a leurs offrir qui vaudrait la trahison que tu leurs demande. Je t'es...

Il tourna l'oeil vers ses deux complices. Il venait de passer a deux doight de se mettre dans le gros pétrin.

Tu a déjà été vaincue et il n'y a aucune raison tu ne le soit pas nouveau. surtout que maintenant tout est bien différent du temps ou tu a été vaincu la première fois. T'est chances sont assez mince et ton armée en a mangé un coup. Alors venir nous nargué ainsi est totalement inutile. Maintenant tu nous excusera mais on doit allez trouvé le moyen de te réduit au néant. On se reverra bientôt de toute façon non?

Il dit sa dernière phrase avec un sourire en coin. Sans trop s'en rendre compte, le discours lui avait inspiré confiance. Il se tourna alors vers Nerezza, constatant qu'elle s'avançait vers le démon. Mais qu'est-ce qu'elle faisait au juste? surement encore en train de déliré.

Zack fixait intensément les réactions du démon quand il remarqua, à l'extrémité de son champ de vision, Nerezza qui s'avançait vers le démon sans rien dire. Zack lui dit quelques mots qu'elle ne sembla même pas entendre. Les traits de l'archange devinrent plus durs, il réfléchit un instant, mais le temps lui manquait tellement. Son corps se contracta et se décontracta à une vitesse folle, il fonça vers l’avant, et enserra le corps de l’elfe dans ses bras. Ses grandes ailes blanches se déployèrent et entoura le corps de l’elfe. À se oreilles, l’archange murmura quelques mots dans un langage anciens pour lui détourner l’attention du démon.

Bien sur, son ennemi était très fort, mais il n’était pas aussi proche de Nerezza que lui. Elle était donc nécessairement plus attirée par son pouvoir que celui du démon. Ses ailes blanches ne formaient pas seulement un bouclier physique, mais psychologique très puissant aussi. Deplus, ces pouvoirs se trouvaient être décuplé grâce à son démon qui semblait être d’accord avec l’action de l’archange. Il était certain que si Balzahir avait l’entierté de son pouvoir, Zack aurait été défait sans problème, mais il avait de bonnes chances de gagner contre cette version affaiblie. De plus, il doutait sincèrement que le démon tienne à ce qu’elle quitte maintenant le groupe du bien. Après tout, elle ne pouvait pas lui donner tant d’information que ça.

Un sourire en coin apparut dans la masse d'ombre que formait le démon devant le groupe. Plus Zaquafaël parlait, plus le sourire gagnait en largeur. Puis le discours de Madriel fut la goute qui fessa débordé le vase. Il éclata d'un rire puissant. Puis il s'arrêta d'un coup sec pour se tourné vers Zaquafaël.

Tu ne connais absolument rien de mon ancienne forme. J'ai peut-être été vaincu autrement, mais maintenant la situation est bien différente. Certainement que les choses on changé depuis, mais en la faveur de qui?

Puis il sourit a nouveau en coin en haussant légèrement les épaules.

Bien, vous êtes prévenue et le choix est votre maintenant. La vie, ou bien la mort. Réfléchissez y bien avant de suivre n'importe qui. Car sinon....


Sortit tout droit de nul part, une rafale de vents se dirigea soudainement vers Nerezza. La poussière qui suivit la rafale engloba entièrement l'archange et l'elfe avant de retourné au sol. Le nuage de poussière laissa alors place a un individu masqué, rapière en main. Il tenait sa rapière a deux main, la lame contre les ailes de l'archange.

Suffit! Je ne t'est jamais ordonné de les attaquer sombre idiots! Va dans la ville, maintenant!

L'individu masqué gromella puis disparut dans une autre rafale de vent.

Fait ce que tu veut archange, mais tu ne pourra pas la protégé contre elle même. J'ai déjà assez perdu de temps avec vous. Repensez bien a ce que je vous ai dit. Ça pourrait vous sauvez la vie.

Dans un puissant rire diabolique, Balzahir se transforma en nuage et disparut

Depuis le déroulement de ces évenement, je ne m'étais contenter que de subir et attendre. Mais lorsque le démon fut dissipé, je repris tout à coup mes esprits.

*Je n'ai jamais autant eu l'impression de ne plus m'apartenir! Moi qui croyait qu'il n'y avait rien de pire que de ne pas se conaître....*

Je me retourna vers mon sauveur et l'admira pendant que la chaleur de son corp m'envelopait tendrement et me réconfortait. Je pris le temps de regarder sa chevelure, toujours aussi scintillante et douce, on aurait pu les comparer a des filaments d'étoiles filante. Et puis son visage si beau... et ses....magnifiques ailes. J'eut alors le gout de les caresser, mais lorsque je croisa le regard Zack, je fut terrifiée sur le coup, sans même savoir pourquoi.

- Quest-ce que....

Je détourna mes yeux et arreta mes mots pour ne rien empirer, j'en avais deja assez fait comme ca.

*Pourquoi passe-t-il leur temps a me sauver, c'est moi qui devrait le faire. Enfin... oublions tout ça. On a encore un long chemin à faire devant nous*

Je me releva et grimaca, quelle douleur atroce.

*Oh mince... je l'avais oubliée celle la. Satané mort-vivant... il n'aurait pas pu manger quelque chose d'autre que ma jambe... bref...*

- Merci Zack... tu m'as sauvé la vie... encore!

Puis je pris un grand respire et...

- On part a l'aventure maintenant? *^.^*

Madriel regarda le démon disparaitre. Les actions de Nerezza l'inquiétait au plus haut point. Ce n'était pas seulement bizarre maintenant c'était très très louche. Il allait devoir gardez un oeil sur elle. Unkaviel avait surpris Madriel. Jamais il ne s'était attendu a ce qu'il la protège ainsi. Balzahir était maintenant partie.

Bon, alors voila un aperçu de notre proie. Pas besoin de s'éterniser plus longtemps ici.

Il alla chercher les chatons a l'intérieur de la taverne et les attacha leurs cage sur son cheval. Puis il monta sur ce dernier et se prépara a quitter les lieux. Une fois bien prêt il se rendit soudain compte de quelque chose. Il n'avait aucun idée de la direction a prendre. Avec le temps il avait pris l'habitude de se repéré en voyageant par la voie des airs. Il ne posait pied sur terre que pour terrasser les démon. Il voyageait trop peu sur terre pour avoir le moindre sens de l'orientation. Il regarda un peu autour de lui et vit une pancarte indiquant Divanie. C'était dans le chemin de toute façon. Madriel attendit donc les autres et se mit en route.