Le grand combat

Elvira remercia rapidement Assafiel et ce précipita à nouveau vers Madriel. Vraiment, en se moment, elle avait l’impression de courir d’un coté et de l’autre, mais cela importait peut pour le moment. Elle arriva rapidement au coté de la fée

Il ne reste qu’une statue alors Assafiel m’envoi t’aider. Tente de te reposer un moment, si ces possible. Je vais tenter de m’occuper d’eux un moment

Il fallut un moment à Elvira avant de trouver qui était le vrai Madriel. Elle n’était pas encore habituer a ressentir son environnement et jamais encore elle n’avait utilisé son don pour différencier quelque chose ou quelqu’un. Un des doubles engagea alors le combat et Elvira frappa de toute ces force afin d’en finir le plus rapidement possible avec eux. Elle réussi a éloigner les ombres juste assez pour implorer Madriel à nouveau de résister. Malgré le fait que les deux clones attaquait de tout coté, Elvira réussi à en mettre une hors combat de justesse. L’épée de l’autre double l’avait touche au bras, mais n’avais causer qu’une entaille. Elle faisait mal certes, mais pas au point de ne plus pouvoir tenir son katana.

Madriel porta la main libre à son epaule. L'ombre sortait peu a peu des eraflure et blessures. L'être d'ombre se trouvait encore au sol à observeur la scene comme un spectateur intouchable, ce qu'il était réelement. Il ordonna a Madriel de mettre la fée au sol. Les deux doubles de Madriel se mirent en face de lui en ligne. Cette fois ci, au lieu d'attaquer tous ensemble ils attaquèrent un à la suite de l'autre, foncant a une vitesse folle sur Maelyn. Le premier attaqua vers la gauche et continua dans son élan, puis le second double fit la même chose mais a droite. Madriel lui n'utilisa son épée que pour faire dévié celle de Maelyn lors de son assauts et plaqua la fée de son épaule. Le but était plus de la sonné .

Les deux doubles avaient tout de suite apres leurs attaque sur Maelyn foncé directement sur Elvira. Le démon d'ombre s'écria alors:

Ca suffit, ils sont assez pres finisons en!

Comme si une grand main invisible venait d'aggriper Madriel pour le coucher au sol, il chuta, percutant le sol de plein fouet. Par ou il y avait ses entailes fait par les assauts de Maelyn, des mains d'ombre sortirent s'agitant de tout les sens. Il sortie ensuite du corps de Madriel une vrai legion d'ombre. Ils devaient être une cinquantaine. Ce n'étais pas des grand guerrier par contre, ils n'avait qu'attaquer l'esprit et l'ame de Madriel. les deux doubles de Madriel eclatèrent en fumé.

Ils formèrent tous un cercle autour de Madriel pendant qu'envrion 5 le retenait toujours au sol. Ceux formant le cercle commencèrent a psalmodié des paroles d'un langue visiblement démoniaque. Alors que Madriel se tordait de douleur, il commancait a s'illumer plus que jamais, d'un lumière brulante qui ne prégagait rien de bon.


HJ : Désolé les amis mais je suis porteuse de mauvaise nouvelle… vous vous rappelez que la limite de mot avait été suspendue pour vous laissez tranquille le temps de revenir dans l’histoire, eh bien elle revient… 300 mots minimum. Merci Alarii

Alors que le corps de Madriel subissait une invocation magique qui dépassait les connaissances de l'elfe, le combat contre la statue diabolique prenait vie. Assafiel était entré dans le rayon d'action de la statue sans vraiment penser. Il s'activait aussi peu que possible, se contentant de petite frappe défensive histoire de connaître les capacités de son ennemi, et les statistiques n'étaient pas forcément du côté de l'elfe comme il s'en rendait compte.

La différence de force et de vitesse était immense. Il y a de fortes chance que si les anciennes statues avaient posséder cette force, ils n'auraient pas même passé près d'avoir la moindre blessure. Il usa de toutes les parades qu’il connaissait, protégeant son corps de coup à la tête autant qu’aux pieds. Cet ennemi était doué pour modifier ces frappes sans la moindre logique, ce qui rendait la défense beaucoup plus difficile. De plus, elle se montrait aussi rapide qu’Assafiel et était un peu plus forte. Le demi-archange était alors très heureux de savoir qu’Amadriel était plus rapide que lui.

Toutefois, elle souffrait d’un petit surplus d’agressivité. Il lui arrivait parfois de laisser tomber sa défense pour frapper plus fort, laissant un instant la possibilité à son adversaire de frapper. C’est ainsi qu’Assafiel put mettre la première entaille à la statue, un peu au dessous de son bras droit. La blessure rendit l’ennemi du bien en colère et frappa de toutes ses forces sur le côté droit d’Assafiel qui, bien que la lame fût parée, fut propulsé deux mètre plus loin sur le dos. L’elfe se releva sans problème et retourna à l’attaque, cherchant la prochaine faille que lui et Amadriel créerait. Assafiel trouvait cet exercice épuisant, trop épuisant, plus le temps passait plus il craignait qu’ils se sentiraient tous trop épuisé lorsque le combat contre Arsany viendrait. Ils devaient absolument conservé un minimum de force.

[Enfin, je peux venir plus plus souvent!!!!! Rahhhh!!!! J'ai un clavier chiant qui fait les espaces une fois sur deux!!!! S'il y a des fautes, je m'en excuse. Madriel, je m'excuse aussi pour ce que je vais faire... d'avance.]

Sous la charge de toutes ces entiités, elle finit par tomber à la renverse, un peu étourdie. Quand elle pu réouvrir les yeux, elle vit de petites créatures d'ombre qui entouraient Madriel, qui psalmodiaient une magie dont elle avait brièvement entendu parler durant son éducation magique, mais dont les informations ne lui revenaient pas. Elle savait une chose cependant, elle ne devait pas laisser cela se faire, elle devait à tout prix arrêter l'incantation. Elle ne se releva pas, laissant aux créatures le soin de penser qu'elle était hors d'état de nuire, mais en fait, elle se préparait seulement à se débarasser une fois pour toutes de ces infâmes ombres qui menaçaient leur victoire.

*Désolé Madriel, mais c'est pour ton propre bien.*

Si ces créatures voulaient se servir de la puissance de Madriel, c'était bien, mais elles ne l'auraient pas en entier. En fait, elles n'en auraient qu'une infime partie, la majorité traversait maintenant le sol, formant dans l'herbe des serpentins dorés qui se répandaient dans la direction de la fée du coeur de Madriel jusqu'à elle. Quand les filaments eurent atteint Maëlyn à la poitrine, elle commença à rayonner un peu, mais elle étaint cette lumière, laissant la magie et l'énergie monter en elle. Ses yeux prirent une douce teinte d'or et elle les tourna vers l'incantation autour de l'archange, perçants et incandescents. Les derniers filaments attinrent la fée et la lumière qui émergeait de Madriel diminua d'intensité. Ellese releva enfin et s'adressa aux ombres avec une pointe de défi dans la voix, un petit accent de snobisme, comme si en prenant son énergie, elle avait également puisé une faible partie de la personnalité de Madriel, de sa supériorité, de sa suffisance.

- Maintenant qu'il ne peut plus user de sa magie dans votre intérêt, qu'allez-vous faire? La puissance que je lui ai laissé serait à peine suffisante à allumer une chandelle, désolé.

Un sourire narquois se dessina sur ses lèvres. Sa puissance magique était maintenant entièrement régénérée et le bien que ça lui faisait était incroyable, mais elle s'inquiétait de l'état de l'archange. Sans cette force qu'il détenait, les ombres pourraient vouloir s'en débarrasser, n'y voyant plus aucune utilité. Elle devait s'emparer du corps de l'archange avant qu'il ne soit trop tard. Ne restait plus que le problème des ombres qui retenaient le corps. Elle espérait que Madriel ait assez d'énergie physique pour endurer le choc de sa perte magique et de sa prochaine offensive.

Sa paume gauche s'illumina soudainement d'une blancheur douce, opalescente. Sa main droite tenait toujours son arme et elle était en garde, malgré toutes les blessures physiques que son propre corps suppotait avec peine. Sa puissance psychique était concentréedans sa main gauche et dans le support de son corps dans le combat. Si elle choisissait de guérir ses blessures, elle perdrait à la fois une puissance dont elle avait besoin et du temps précieux alors elle ne ferait pas. Elle préférait souffrir que périr et donner une chance à ses ennemis de tuer les siens. Si elle devait mourir, ce serait d'épuisement, pas de stupidité.

Un seul instant, une seconde, elle songea à Assafiel qui se battait lui aussi derrière elle et s'en voulut un peu de compromettre autant sa vie. Puis elle oublia tout ce qui l'entourait, tout ce qui pouvait la déconcentrer et devint une simple âme en phase d'attaque, préparant une lumineuse surprise à ces ombres.

[C'est comme quand je prends l'énergie d'Assafiel, sauf que c'est de force et que ce n'est pas de la force physique, mais psychique que j'ai prise. Ah! Il y a aussi le fait que Madriel soit un être de lumière qui aide ma cause, c'est la magie que je maîtrise le mieux! Oh, encore désolée Madriel de toujours te massacrer comme ça.]

L'archange, ou ce qu'il en restait sentit toute sa force sortir de lui. Il cessa immédiatement de briller. Toutes les ombres se tournèrent vers la fée, la fixant simplement. Madriel tomba a quatre pattes au sol, exténué. Il n'avait plus aucune force mais c'était bien mieux ainsi. Si les ombres avaient utilisé la force de Madriel comme il entendaient le fait, les résultats aurait été catastrophique. Il leva le regarde vers Maelyn qui semblait vouloir dire: Bien joué. Il porta ensuite son regard vers Elvira. À ce simple moment, il réalisa qu'il lui devait peut-être bien quelques excuse pour son attitude envers elle. Elle était peut-être demi-démon mais elle était aussi demi-humain.
Il n'avait jamais vraiment cru a cette vielle prophétie, mais maintenant son scepticisme avait disparut. Ils avaient une chance. Et maintenant que les ombres étaient sortie, il était pleinement lucide, il pouvait les aidé. L'être d'ombre démoniaque qui ne faisait rien d'autre que regardé depuis le début ricana légèrement.

Ce qu'on vas faire? Et bien c'est dommage que tu m'es cassé mon plaisir mais bon, je vais me contenter de ceci...

Il lança son regard vers la légion d'ombre sans rien dire. Deux ombre prit Madriel par les épaules tandis qu'un autre pris l'épée au sol et l'enfonça dans le corps de l'archange.
La sensation fut comme si on venait de l'empaler avec un pilier. Il resta le souffle coupé. Les ombres le lâchèrent et repartirent toutes vers le niveau précédent, il ne servait a rien de combattre des gens avec une parti des pouvoirs d'un dieu.

Le démon d'ombre était maintenant devant Madriel.
Heureux de t'avoir revue Madriel.
Puis il sourit et disparut. L'épée toujours dans rentré bord en bord de son corps, il tomba couché sur le coté au sol. Les ailes de lumières savaient dissipé. Son corps en entité commençait à s'égrainer, comme du sel d'un blanc parfait qui parfait au vent. Il n'y avait plus rien à faire. Pour Madriel, c'était la fin.

Le regard que lui jeta l’archange était si étrange qu’elle figea sur place. Que voulait dire ce regarde, s’il voulait vraiment dire quelque chose. Un ricanement qui lui donna froid dans le dos retentit alors et l’ombre ce mit à parler.

Ce qu'on va faire? Et bien c'est dommage que tu m'es cassé mon plaisir mais bon, je vais me contenter de ceci...

Ce contenter de ceci? De quoi donc voulait-il donc parler. Deux ombres prirent alors Madriel par les épaules et soudainement ce qui suivit sembla une évidence. Au même moment ou la lames pénétra le corps de Madriel, un cri échappa à la demi démone.

NOOON

Elle avait fait un pas vers l’avant, comme si ce pas aurait pu aider Madriel, peut-être même le sauver. L’ombre ce plaça ensuite devant l’archange sans ailes.

Heureux de t'avoir revue Madriel.

Elle avait entendu faiblement ces paroles. Pour elle, en se moment, il n’y avait que Madriel sur le point de mourir. Elle se mit alors à courir au même moment ou l’ombre disparut, comme si sa seule présence lui avait empêché tout mouvement. Elle lâcha son épée a quelque mètre du corps de celui qui avait été ce qui ressemblait le plus a un ami pour elle. Elle se jeta a genoux sur le sol près de lui et, avec une douceur dont elle-même ne saurait crut posséder, le prit tranquillement dans ces bras en évitant soigneusement de ne pas toucher l’épée lui traversant le corps.

Madriel, reste avec nous. Ne nous quitte pas, ne….me quitte pas. Reste avec moi s’il te plait.

Elle était sur le point de le perdre et cette perspective l’effrayait plus que tout. Il y avait en plus, derrière tout ça, une horrible sensation de déjà vu. Elle prit alors conscience qu’elle s’était mise à pleurer. Les larmes coulaient sur le corps de l’archange librement et elle ne fit rien pour les arrêter. Elle ancra alors son regard vide dans celui de Madriel.

On se reverra au paradis


Derrière le voile de larmes qui c’était formé devant ces yeux, elle le vit esquisser un semblant de sourire puis ce fut la fin. Son corps s’égraina entre ces mains puis, comme si on vent aurais souffler, disparut. Elvira n’avait aucune idée si oui ou non il y avait eu ce vent, encore trop déboussolé par la perte de l’archange. Elle se releva après un moment et alla récupérer son épée. Ce n’était pas le moment ni l’endroit pour s’apitoyer, elle devait encore ce battre.

*Si…Si je peux faire quelque chose pour vous aider, dites le moi.*



HRP: Madriel ma donné la permission de l'utiliser dans mon poste. Ces derniere paroles arrive tout droit de son imagination =P

[Hé bien voilà, nous revoici réunnis. À nous maintenant de battre le gros vilain... sans vouloir T'insulter Arsany ^^]

Oh le pied. Assafiel était définitivement entrain de le prendre dans ce combat. Force et vitesse était désuète, seul les esprits pouvaient vaincre dans ce combat à l’épée qui tenait du surréaliste. Ce combat, Assafiel n’aurait même pas put dire à quel point il l’aimait. Il était pourtant en position d’infériorité à ce qu’il semblait pourtant. Mais l’esprit de l’elfe ne s’arrêtait pas. La statue ne faisait que se défendre, tandis que le demi-archange, lui, anticipait, évaluait, calculait. Ce combat aurait put être théorique que l’elfe l’aurait quand même infiniment apprécié ce qui se passait.

Lentement, l’elfe détectait les erreurs, il détaillait chaque mouvement et gardait en mémoire chaque faille. Parade 4-6-3-5-2-4, non, les parades n’avaient pas un ordre régulier, même chose en ce qui concernait les attaques. Pourtant il voyait les failles, il savait qu’il faisait une chose qui a chaque fois, laissait une partie de son corps à découvert. Il remarqua aussi une autre chose, les entailles était, à toutes les fois qu’il revoyait la faille, un peu plus nombreuse. Tous les coups étaient sur les cuisses et juste au dessous des bras ou presque. Puis l’elfe comprit, c’était pourtant si simple.

*Sa faille Amadriel, je l’ai trouvé! C’est un peu ridicule je te préviens mais c’est maintenant très clair. Quand on arrive à le touché sur le bas du corps, l’autre à une ouverture sous les bras à cause de sa réplique un peu trop violente. Quand c’est le haut du corps, il oublie de protéger ses cuisses. Suffit de le toucher une fois pour avoir une faille continuelle à exploité. Dès que l’un de nous deux touche il avertit l’autre et dit ou, ainsi l’autre pourra atteindre la statue sans problème jusqu’à ce qu’une jambe ou un bras soit coupé, sans compter qu’il perd pas mal plus de sang que nous. Allons-y!*

Finalement, l’elfe avait fais tomber une des plus grosses cibles qu’il n’avait jamais eu à abattre. Il avait réussi à passer ce test ultime de ces capacités. C’était la preuve qu’Assafiel voulait pour savoir s’il était vraiment de taille à ce battre contre un dieu. Ce ne serait assurément pas quelque chose de simple, ce serait même à un point incroyable beaucoup plus dure que d’abattre cette statue sans vraiment d’imagination et incapable de se rendre compte de ses erreurs. Les coups pleuvaient déjà sur la statue qui se trouvait avec des entailles de plus en plus profonde. Elle était presque morte maintenant.

Alors il avait finalement trouvé. Le Dieu suprême du mal, toujours assis sur son trône regardait en détail tout ce qui se passait et écoutait tout ce qui se disait dans l’esprit des serviteurs du bien. Assafiel, ce demi-archange, avaient enfin comprit la lacune de la statue restante et était sur le point de la battre. Arsany ne pouvait laisser cela aller, il devait maintenant s’occuper lui-même de c’est être qui devenait de plus en plus agaçant.

Il se leva de son trône et leva la main droite vers sa dernière statue rouge. Une colonne de flamme s’éleva, repoussant Amadriel et Assafiel au loin par la simple puissance de sont sortilège. Le torrent de feu commença à tourbillonner autour de la statue et finit par la faire exploser. Des fragments de rubis s’enfoncèrent dans le sol et aussi dans la chaire des combattants.

Le Dieu planta l’épée démoniaque qu’il avait invoquée plus tôt dans le sol. Dans un rayon de vingt mètres, la terre se dessécha au point de devenir dur et rocailleuse et toute la magnifique verdure mourut. Il psalmodia quelques mots dans une ancienne langue connut que par les plus anciens démons et une armure se matérialisa sur lui. Complètement fait d’un métal aussi noir que la nuit, elle n’avait rien de rassurante. Arsany reprit l’épée et la fit tournoyé dans sa main droite pour se réhabituer à son ancienne armure.

Arsany regarda devant lui. Maintenant que Madriel était disparut, se serait du quatre contre un. Ce sera un combat à égal puissance. Il marchait vers le bien. Chaque pas le rapprochant plus de ses ennemis, chaque pas le rapprochant plus de la destiné des terres d’Alarii.


HJ : Et bien voilà, nous y sommes, l’affrontement final entre le bien et le mal. N’oublier pas qu’Arsany possède 4 fois votre puissance et quelques milliers d’années d’expérience de plus que vous. Sur ce : amusez-vous ^^!

Ho et Assafiel, je suis peut-être vilain mais je ne suis pas gros!! ̀- ́

Les coups pleuvaient, ils n'avaient pas arrêté de pleuvoir. Ce combat commençait à tenir du chaos. Les coups de la statue semblait parfois ne même plus les visé, en faites, Assafiel croyait bien qu’elle commençait à halluciner à cause du manque de sang et qu’elle essayait maintenant de s’attaquer à des formes imaginaires tout autour d’elle. Assafiel avait tellement envie de rire de ce qui se passait. En faites, il n’y avait absolument aucune raison pour qu’il s’en empêche, après tout, cela ne ferait qu’énerver un peu le dieu du mal à la limite. C’est donc au moment où il allait éclaté de rire que tout ce passa.

Le visage d’Assafiel s’approcha du corps de la statue pour contrebalancer le mouvement de son épée, et alors le feu sortit de terre. Le visage de l’elfe encaissa les flammes sans aucune protection. Son corps fut projeté par derrière sans qu’il ne puisse trop comprendre ce qui se passait. C’est donc le visage complètement calciné que son corps heurta durement le sol, coupant le souffle du demi-archange qui n’arrivait plus à avoir la moindre pensée cohérente. Sa tête avait aussi touché le sol sans coussin et la vision d’Assafiel se brouillait un peu. C’est donc les yeux dans le vide que se passa la seconde vague de malheur, celle là pire encore pour l’elfe.

L’explosion résonna avec forces. Assafiel vit alors le temps au ralenti, le corps d’Assafiel qui se jetait sur le sien pour assurer sa sécurité semblait être retenu par un fil pour le suspendre dans les airs. Un immense rubis emplis la vision du guerrier l’espace d’une seconde. Sa vision sembla revenir miraculeusement alors qu’il suivait cette pierre de ses yeux morts. Puis le choc fut intense. Une pierre passa juste en dessous des côtes de l’elfe, la pierre perça progressivement le poumon, traversa une seconde fois la paroi, et réussi l’exploit d’atteindre le cœur de l’elfe. Les yeux de l’elfe grandirent d’un coup alors qu’il se raidissait une dernière fois. Puis se cœur stoppa net. Quelque seconde plus tard, tout son corps s’affaissa, et une lumière d’or apparut à Assafiel.

Les souvenirs de l’elfe fracassèrent la vitesse du son, il remarquait à peine les époques. Vint le rappel de la création des armures d’argent, le premier combat qu’ils avaient mené, sa nomination au poste de conseiller de guerre de la ville d’Alarië, sa rencontre avec Maëlyn, Franguir et Elkanios, leur combat contre malédiction, différent moment du voyage vers les enfers. À travers ces moments, il ressentit toutes les émotions qu’il y avait vécut. Peine, joie, douleur physique et émotionnel, les sentiments de bien être, l’amour qu’il portait à ces nouveaux et anciens amis, tous étaient au rendez-vous. C’est à travers ce tourbillon qu’il sentit son corps lévité et atteindre de meilleurs cieux.

L’elfe se réveilla alors deux secondes, il voyait au loin les portes du paradis, mais il n’y était pas encore. Sous-lui, une espèce de plancher de vitre l’empêchait de tomber dans le vide et retourner sur terre. C’est alors qu’il remarqua la présence devant lui. Il était là, Madriel, mort mais toujours là. Assafiel se sentit idiot de ne pas avoir compris qu’un archange mort ne faisait que retourner au ciel, cela était pourtant incroyablement logique. Il remarqua aussi les ailes de l’archange. Elles étaient revenues en leur état normal. L’autre enfant d’Alarii, ou tout du moins il l’était en ce qui concerne Assafiel, se pencha pour être à la hauteur de l’elfe qui se tenait un peu surélevé sur ces mains posées à la hauteur de ces épaules.

Tu veux me dire ce que tu fais la? Mort, tu n’es pas bien bien utile Assafiel! Non la ferme, je parle tu écoute, tu n’avais qu'a pas mourir. En bas, il y a encore du monde qui ont besoin de toi. Moi, j’avais déjà finit ma mission. Tu vas te laisser tuer par une pierre? Tu appelle ca une mort honorable?! Alors la tu vas m'écouter, tu vas retourner la bas et tu vas prendre ca. Oh et essai de glisser un mot a Alarii du cadeau que je t’es fait

Sur terre, presque toute une minute était passé depuis qu’Assafiel était décédé. Pourtant, les yeux clos d’Assafiel s’ouvrirent pleinement à nouveau, alors que les poumons de l’elfe se remettait en marche et réclamait une importante dose d’air. Les blessures internes de l’elfe s’était régénérée d’un coup, les brulures sur le visage de l’elfe c’était dissipée subitement, au niveau du cœur d’Assafiel, sous ces vêtements, sa peau vira au rouge et se cristallisa, transformant la peau d’Assafiel en rubis pure, marque éternel de sa première mort.

Si quelqu’un voulait le retenir au sol, il pouvait bien oublier sa, sortant d’on ne sait trop ou une force incroyable, il releva le torse et dans une grande éclaboussure de lumière, deux grandes ailes blanches sortirent du dos à l’elfe et se déployèrent totalement. Les ailes étaient bien fournies de magnifique plume blanche. C’était bel et bien des ailes d’archange. Les respiration d’Assafiel commencèrent à se faire plus régulière. Finalement, il força pour la première fois les muscles de ses ailes qui, jusqu’à alors, avaient réagis en réflexe.

Se donnant une puissante poussée. Les ailes frappèrent l’air, donnant l’effet nécessaire à Assafiel pour qu’il puisse se tenir directement pleinement debout. Assafiel leva un pu les poing et les serrèrent. Il sentit la vie s’écoulé dans ses veines. Il posa alors son regard sur Arsany, le dernier ennemis qu’Assafiel avait à combattre. Un sourire en coin naquit dans le visage du demi-Archange. Il laissa tomber un petit *Merci Madriel* bref. Maintenant il était prêt au combat.

Amis, aujourd’hui s’annonce deux choses. La première est l’Apocalypse, la fin de toutes choses et de tout espoir. La seconde, c’est la vie et le retour du soleil. En ce jour maudit, nous allons connaître ce que le monde attend, car nous allons créer ce que le monde attend. Nous sommes les enfants d’Alarii, nous sommes les élus, nous sommes ceux qui doivent créer le cours du temps. Nous pouvons souffrir aujourd’hui, nous pouvons avoir peur aujourd’hui, mais nous ne pouvons pas faillir. Pour le monde d’en haut, pour les personnes que nous avons laissé sur la terre et ceux que nous allons bientôt rencontrer hors de cet enfer. Nous devons faire de ce combat notre victoire. Pas pour que l’histoire se rappelle nos noms, pas pour que les jeunes et moins jeunes nous louanges, mais simplement pour que l’histoire existe encore et que les jeunes et moins jeunes existent encore pour les siècles à venir. Aller, enfant d’Alarii, il est maintenant temps pour nous de faire notre travail. Pour Alarii!
HJ: J'ai le ok d'Alarii et Madriel donc pas de probème ^^ Alarii annonce la limite de 400 mots.Je vais même aller plus loin ^^, si vous êtes intéressé dans un don en particulier que vous voudriez recevoir, je vous en offre un! Je demande par contre à ce que ce soit quelque chose en lien avec votre personnage. Une sorte d'extension de vos povoirs régulier.Et vous devez m'offrir au moins deux choix et meme trois si possible, ce sera a moi et Arsany de choisir lequel vous méritez D'ici à avoir vos réponse, bon rp contre mon fils! (Maëlyn j'attend particulièrement tes suggeestion... tu te rapelle pourquoi j'espère )

[Non, mais qu'est-ce qui vous prend de tous mourir comme ça bande de... J'en reviens pas!!!! L'archange qui crève stupidement, Assafiel, le brave, le fort, le courageux Assafiel qui se fait tuer par une petite pierre!!!!! Sincèrement, j'en reviens pas! C'est le dernier combat, pourriez-vous au moins vous donner la peine de rester en vie?!? ]

Tout allait beaucoup trop vite! Madriel qui se faisait planter une épée dans le corps et qu'elle n'arrivait pas à protéger, malgré tous les efforts qu'elle pouvait y mettre. Elle venait de l'assassiner en tentant de lui sauver la vie. Elle se mit à trembler et à perdre contenance. Le peu d'espoir qui restait en elle s'écoulait lentement par les tremblements qui parcouraient son corps. Elle retourna son regard vers le combat d'Assafiel et d'Amadriel, dans l'idée de savoir s'ils pouvaient tous s'en sortir, sans autre perte, mais... Là-bas, il n'y avait plus qu'un brasier destructeur, la statue en feu, une explosion et...

*Nooooonnnn!!!!!*

C'est ce que sa gorge aurait produit comme son si elle avait été capable de crier, mais la douleur qui l'envahissait était trop forte ppur qu'ell puisse réagir. En à peine quelques secondes, elle était agenouillée à côté d'Assafiel, des éclats de rubis à travers le corps et les ailes, quelques rainures de ceux qui ne l'avaient pas atteint sur la peau, et essayait de le ranimer, mais sa magie ne pouvait ramener les gens à la vie. Son visage était innondé de larmes cristallines qu'il ne verrait jamais et elle l'invectivait mentalement, ses pensées dirigées vers le vide de l'esprit de ce mort. Ses larmes se mélangeaient au sang qui coulait en petites perles des quelques trois stries qu'elle portait au visage.

*T'avais pas le droit de mourir! Salaud, comment t'as pu me faire ça?!?*

Une minute s'était passée depuis sa mort et soudain, alors qu'elle perdait toute cette colère envers lui et qu'elle dirigeait sa fureur vers l'assassin, le miracle se produisit. Elle recula instinctivement, affalée par terre et regarda renaître le demi-archange. Quand des ailes lui poussèrent dans le dos, elle laissa échapper un soupir quasi-inaudible. "Assafiel?..." Elle essuya ses larmes et constata qu'elle saignait beaucoup, mais ça n'avait que très peu d'importance. Elle tremblait toujours, mais c'était différent. Elle n'avait pas vraiment peur, elle ne ressentait pas la souffrance, mais elle ne pouvait pas comprendre tout ce qui se passait, c'était trop pour elle, tout était arrivé trop rapidement. Elle ne savait plus vraiment comment elle devait réagir.

Alors le revenant prit la parole et elle comprit qu'il n'avait pas craiment changé, qwue c'était encore celui qu'elle connaissait. Pendant son discours plein de passion, elle se releva et s'approcha de lui écoutant avec ferveur et un peu d'admiration ce qu'il disait. Quand il eut fini, elle répéta avec un sourire...

- Pour Alarii!

...et elle le gifla de toutes ses forces avant de lui tourner le dos et de jeter pour la première fois un regard à leur ennemi principal, Arsany. Dans son armure, il était plus impressionnant que jamais, mais elle était prête. Elle était pleine d'énergie et malgré les très nombreuses blessures qu'elle portait, malgré les éclats de rubis minuscules qui faisaient briller de rouge quelques parties de son corps selon les angles de lumière, malgré la douleur et la mort d'un de leurs alliés, elle était prête à y croire encore, même à peine, même avec la ceritude d'y laisser sa peau si c'était nécessaire, ele était prête et elle l'attendait. Elle eut un sourire narquois et déclama du même ton héroïque et solemnel qui ne convenait pas vraiment à ses paroles.

- Mais si vous tenez à vous battre pour Alarii, il serait temps de le faire au lieu d'écouter Assafiel faire ses habituels discours motivateurs. Je vais vous apprendre une chose essentielle: pendant qu'on perds notre temps à écouter Assa, on a un demi-dieu qui nous attend et qui doit commencer à perdre patience.

L'arme qu'elle avait oublié près du corps de Madriel s'éleva du sol et vint rejoindre sa main ensanglantée. Un combat, le dernier, et ils seraient soit des héros, soit des cadavres. Tant pis.

Quand elle vit qu’Assafiel ne se relevait pas, elle crut alors que tout était terminé. D’abord Madriel puis Assafiel ensuite à qui seras le tour? A elle? A Maëlyn? Ou peut-être même à Amadriel? Elle repensa alors à ce que Madriel lui avait dit. Irait-elle vraiment au paradis ? Elle espérait tellement le revoir. Elle sorti de ces penser brusquement quand Assafiel se releva. Elle leva ensuite la tête quand celui-ci ce propulsa dans les air.

Amis, aujourd’hui s’annonce deux choses. La première est l’Apocalypse, la fin de toutes choses et de tout espoir. La seconde, c’est la vie et le retour du soleil. En ce jour maudit, nous allons connaître ce que le monde attend, car nous allons créer ce que le monde attend. Nous sommes les enfants d’Alarii, nous sommes les élus, nous sommes ceux qui doivent créer le cours du temps. Nous pouvons souffrir aujourd’hui, nous pouvons avoir peur aujourd’hui, mais nous ne pouvons pas faillir. Pour le monde d’en haut, pour les personnes que nous avons laissé sur la terre et ceux que nous allons bientôt rencontrer hors de cet enfer. Nous devons faire de ce combat notre victoire. Pas pour que l’histoire se rappelle nos noms, pas pour que les jeunes et moins jeunes nous louanges, mais simplement pour que l’histoire existe encore et que les jeunes et moins jeunes existent encore pour les siècles à venir. Aller, enfant d’Alarii, il est maintenant temps pour nous de faire notre travail. Pour Alarii!

Pour Alarii

Elle avait murmuré ces paroles puis c’était dirigé vers Amadriel. Elvira ressentit Maëelyn giflé Assafiel et elle se permis alors un léger sourire. Arrivé au niveau de l’elfe, elle écouta le discours de Maëlyn. Une fois terminer, elle tourna son regard blanc vers celui-ci.

Est-ce que tu vas bien ce que j’ai hmm…comment dire….ressentit non hmm vu…bref, est-ce que ta jambe va bien?

Malgré la tristesse qui teintait sa voix, l’inquiétude était plutôt évidente a entendre. Elle avait déjà perdu Madriel et ne tenait pas a perdre encore quelqu’un même s’il venait a peine de ce rencontrer. Elle savait qu’Assafiel allait bien et Maëlyn aussi semblait bien aller mais lui elle n’en étais pas certaine. Elle savait que la fée avait raison, que le dieu du mal devait s’impatienter mais elle préférait s’assurer de la santé de ces coéquipiers avant de se lancer dans la bataille.

Un frisson parcourut l’échine du Démon. Il y avait longtemps qu’il n’avait pas pris lui-même plaisir à un combat. Il plia légèrement les genoux pour se donner la force nécessaire pour se propulser vers Assafiel qui venait tout juste de finir son petit discours d’encouragement. Il asséna une dizaine de coup rapide vers son adversaire. Il solda sa première attaque par un puissant coup de pied dans l’abdomen du demi-Archange.

Il se tourna ensuite ver Maëlyn, vers qui il envoya un puissant sortilège d’attaque. De sa main gauche fut propulsée avec une force incroyable une lance entièrement formé d’ombre. Cette lance pouvait transpercer n’importe quelle défense magique et les plus puissantes armures. Elle frôla la jambe droite de la fée, fessant apparaitre une légère coupure. Une deuxième suivit et finalement une troisième.

À une vitesse inimaginable, le Dieu du Mal alla se placer derrière Amadriel. Profitant du fait que l’elfe des mers soit de dos, Arsany décocha un coup de poing entre les omoplates de son ennemie. Par la suite, un coup d’épée latéral vint s’abattre là ou se tenait l’elfe.

Arsany se replia à environ vingt mètres de là et fit face à Elvira. Le fils d’Alarii se ferma les yeux quelques secondes et concentra toutes sa force physique dans le bras qui tenait sont épée. Il frappa le sol en direction de la demi-néko avec une tel force que le sol se fendit jusqu’à elle créant un gouffre d’environ deux mètre de large sous ses pied. En même temps, plusieurs pierre furent projeté, dont une qui toucha l’épaule d’Elvira.

Voulant mesurer la puissance de ses adversaires, Arsany se recula un peu, prêt recevoir les attaques de ses adversaires. Un sourire apparut sous son casque. Il aimait combattre ainsi. Il se plaça en posture défensive et récita quelques puissants sorts de protection dans sa tête afin de bien se les remémorer quand le temps serait venu de les utiliser.

HJ : Appart quand je dis textuellement que vous êtes touché, vous pouvez évitée ou déviez mes attaques. Je vous laisse décider à quel point vous êtes affecté par les attaques réussi. CONTINUONS LE COMBAT!!! J’AI SOIF DE VOTRE SANG ET DE CELUI DE MA MÈRE!!! MOUHAHAHAHA!!!!

Il n'avait cependant pas remarquer en se relevant qu'Assafiel ne le suivait pas. Il tourna son regard rougeâtre vers l'Elfe, qui gisait encore au sol...

-Oh non... ne put se retenir de dire Amadriel.

Il retourna aurpès du corps d'Assafiel, le grand général maintenant au sol et décédé depuis seulement quelques minutes. Il oublia le combat qui devait bientôt arriver, Arsany, le mal, Madriel... tout. Assafiel était... mort. Il chercha des yeux l'explications et il ne tarda pas à tomber dessus: un énorme trou béant juste en dessous de ces côtes, évidemment provoqué par un des rubis de l'explosion, qui sembla être extrèmement puissant. Bref, pas même lui, Assafiel, aurait pu avoir une chance de résister à ça. Cela fait deux morts contre le Dieu du Mal. On le réel combat n'était pas encore véritablement commencé! C'est sur ces pensés qu'il refit surface à la réaliter et remarqua qu'il avait laisser couler deux larmes, identiques.

*Non, je ne peux pas abandonner mes compagnons... Pas maintenant! Ce n'est sûrement pas ça qu'il aurait voulut.*

L'elfe des mers secoua sa tête pour faire disparaître les larmes et se concentrer sur le combat qu'il devrait mener avec ses compagnons... sans Assafiel. Il observa Arsany, leur ultime cible, le combatant du mal suprême. C'est lui le responsable... Mais trois simple mortel contre un Dieu, ce n'était pas gagné d'avance. Cette idée lui traversa l'esprit en même temps qu'un sentiment d'injustice. Pourquoi les Dieux sont-ils si puissant? Et pourquoi celui-là a besoin de l'être? Il secoua à nouveau sa tête, mais plus cette fois-ci pour chasser ses pensées. C'est ainsi et c'est comme ça que cela restera. Par contre, il ne pouvait chasser l'impression que tout était perdu, que tout allait finir quand lui, Arsany, le décidera.

C'est alors qu'il vit un éclat de lumière blanche qui provenait de derrière lui... Sans même se retourner, il sourit. Il se retourna, ne voulant pas y croire: Assafiel, le même qui venait d'être tué, était debout, avec de magnifiques ailes d'un plumage si blanc, si pur... Il n'en revenait pas: on aurait presque dit un ange venu directement du ciel pour les aidés! Et d'après les ailes, ce n'était pas si faux que ça... Il écouta le discours d'Assafiel qui n'eut pas vraiment d'effets: seul sa présence arrivait à le faire dire: "Maintenant, on gagne, c'est sûr!" Par contre, il ne dit rien. Il contenta de se retourner, entendit des pas arrivé proche de lui et entendit un bruit de quelqu'un qui venait de se faire gifler. Il se retourna brièvement pour voir que c'était Maëlyn qui venait de gifle Assafiel...

*Quel drôle de personne...*

... et se retourna vers Arsany, qui sembla décidé à prendre son temps. Elvira était rendu à côté de lui et lui posa une question. Sa jambe... Certe, elle lui faisait mal, il devra boiter avec, elle saigne encore du trou causé par le rubis, mais ce ne sera pas un handicap sérieux durant le combat. Il se tourna vers la demi-néko, lui sourit légèrement.

-Ma jambe... Non elle va bien. Je suis blessé, mais cela ne m'empêchera pas de combattre convenablement... Mais merci quand même. Prête pour le combat...?

Il venait de dire cela que le Dieu décida finalement de faire le premier mouvement, l'impatient. Encore plus rapidement que la statue, il attaqua tout les membres de la petite équipe presque en simultané... Il sentit les douleurs des autres, mais il sentit surtout le coup porté sur ses omoplates. Ses yeux grandir sous l'effet combiné de la douleur et de la surprise. Dès qu'il sentit le poing s'éloigner de son dos, il eu l'heureux réflexe de se jeter sur le côté droit au sol, évitant ainsi une attaque qui aurait pu lui être fatal. Toujours prévoir les intentions de l'ennemi, que son mentor lui disait. Par contre, il avait terriblement mal au dos à présent! C'était pas à tout les jours que quelqu'un le frappait là, et encore moins un Dieu... Il se releva plus ou moins bien, empoignant ses deux épées fermement, fixant Arsany de ses deux yeux habitués aux mouvements rapide, en étant en position de défens lui aussi.

*Assafiel, je ne bouge pas... Dit moi quand et comment je devrais..*

Il espérait qu'il pouvait encore recevoir les messages mentaux.

[Youppi!!! Une bataille!!! C'est la dernière celle-là, j'espère. Je pense que Maë a terriblement besoin de sommeil. C'est que la dernière fois qu'Elle a dormi, c'était dans l'arbre des anciens, tu t'en souviens Assa? D'ailleurs, me remémorer de si lointains souvenirs me ramène un élément qu'Arsany avait oublié!!!]

Maëlyn ne prévoyait pas qu'Arsany soit si rapide, mais elle encaissa les blessures supplémentaires avec beaucoup d'aplomb. Un sourire s'était déployé sur son doux visage comme une fleur rosée en plein coeur d'un désert de neige. Le sang coulait de ses blessures, mais elle l'ignorait royalement car elle voyait plus clairement que toute autre personne, même si elle avait les yeux clos. Elle savait que ce qui allait se passer, il en pouvait le prévoir ni l'empêcher car c'était un atout qu'elle avait gardé que pour la toute fin, puisqu'ils en étaient à la toute fin, justement. Une attaque par surprise, c'était ce qu'il leur fallait pour distraire cette brute contre laquelle ils se battaient et se mettre à leur avantage. Elle interpela son arme secrète d'un appel psychique imperceptible car le lieu qui l'unissait à elle était infiniment puissant et personnel à elle et à Assafiel. Le dieu du Mal ne pouvait entendre cet appel, masi il put entendre le dernier cri qu'elle poussa dans son esprit.

*Maintenant!*

L'épaule du Demi-dieu fut alors attaquée soudainement par une machoire dont la force était impressionnante. De là où ils étaient, ils voyaient maintenant très bien l'ampleur de la bête qui s'en était prise à Arsany. Son corps maintenant plus gros qu'il ne l'avait jamais été, recouvert d'une peau solide d'écailles dorées, ses yeux de rubis, ses dents blanches et effilées enfoncées dans l'épaule de leur ennemi commun. Les ailes de la créature battaient l'air puissamment, se maintenant à la heuteur parfaite pour mordre. Il avait attaqué par derrière, mordant la chair et l'articulaition du bras droit dans lequel Arsany tenait son épée, sa gueule assez grande passant en largeur du bord de l'épaule jusqu'au cou. Le dragon relâcha rapidement son étreinte pourtant, pour éviter que le dieu ne réagisse trop rapidement. Il s'éloigna à une vitesse de vol impressionnante, puis il jeta, d'une distance acceptable, un rayon de feu sombre. Ils ne virent pas si cette attaque avait atteint Arsany, malhuereusement, les flammes interceptant leur vue.

Maëlyn profita de la distraction que son protégé avait créé dans l'esprit d'Arsany pour attaquer, ignorant toute la douleur physique qu'elle devait supporter, se contentant de fermer les yeux, de se figurer les événements d'un autre point de vue et de mettre assez de force dans une seule attaque. Elle modéra la puissance qu'elle y mettait car elle savait que son rôle dans ce dernier combat n'en était pas un offensif. Elle recouvrit sa lame d'une pellicule blanche étincelante et la lança, comme un dard, dans la direction qu'elle savait la bonne grâce à sa double vue.

Elle attendit une seconde, puis elle se tourna vers les autres et remarqua qu'ils avaient aussi subi des dommages. Elle se dirigea immédiatement vers Amadriel, voyant à quel point il était mal en point, et, sans attendre qu'il réagisse ou qu'il lui adresse la parole, commença à attirer vers lui des rayons d'un vert lumineux d'Arsany lui-même, de sa plaie à l'épaule jusqu'à la jambe lacéré de l'elfe des eaux. Elle fit signe du bras gauche à Elvira de se mettre immédiatement à l'offensive, un sourire rassurant sur le visage lui assurant une fois de plus qu'ils allaient s'en tirer.

Tout en se concentrant à réparer au plus vite cette blessure, elle adressa un message que seul Assafiel put entendre.

*Assafiel, si tu meure encore, je te jure que je trouverai un moyen de te rendre la vie uniquement pour te l'enlever encore par moi-même. Notre petit se débrouille bien, mais il préfère qu'on lui dise quoi faire alors profites-en. On ne sera pas peu de cinq pour vaincre cette ordure.*

Elle fit une pause, en profitant pour vérifier conscienmment de ses yeux ouverts de quoi avait l'air la plaiie en guérison.

*Et... Bonne chance à toi surtout!*

Elle vérifia une fois de plus et fit signa à Amadriel d'accourir au combat. D'accord, ce n'était pas parfait, mais ce serait suffisant pour qu'il soit libre de ses mouvements et qu'il n'ait pas à se soucier de la quantité de sang qu'il perdait.

[Arsany, tu décides à quel point tu as été atteint à l'épaule et si le rayon de feu t'atteint, de même que tu choisis si mon épée t'a atteinte, un peu, beaucoup ou pas du tout et des dommages qu'elle t'a fait. Mais j'imagine que tu ne t'en sortira pas tout à fait indemne quand même. Et quand je dis que je me sert de ta plaie, c'est que ton sang, ou ce qui le remplace, est transformé en filaments verts qui vont soigner les blessures à la jambe d'Amadriel. Pas le choix, c'est le plus blessé... après moi, je crois. Enfin, c'était.]

[L’arbre des… ah oui l’arbre!! Seigneur tu te rappelle même du nom, la tu es vraiment fort. Moi je ne me rappelais même plus d’avoir arrêté dans le petit village d’elfe des bois lors de notre départ. Je me demande si nous y retournerons un jour? Peut-être pendant le voyage de retour qui sais?]
Quand Assafiel se fit gifler par Maëlyn, il ne put s’empêcher de rire. Elle en avait du culot cette fée, et c’était bien pour sa qu’il l’aimait tant. Elle était toujours là pour lui faire remettre les pieds sur terre. Le guerrier devait admettre que ce n’était pas nouveau qu’il se lance dans de trop longues et inutiles tirades. Intérieurement par contre, il aurait aimé avoir une autre réflexion d’un de ces compagnons, une réponse aussi brave que la sienne à l’affront du seigneur du mal qu’il ridiculisait en parlant comme si le combat ne l’intéressait pas vraiment. Eh bien tant pis, il aurait peut-être plus de chance la prochaine fois qu’ils se battraient contre un ennemis infernal qui désirerait détruire le bien de la surface de la terre.

Par contre, il ne s’attendait surtout pas à une chose en particulier, que le dieu attaque le premier. Il le voyait bien, attendre le premier coup avec un petit sourire sarcastique et haineux. Son erreur, et elle lui coutât. Affalé au seul, le coup de point avait bien atteint sa cible, si l’elfe avait sut éviter les coups d’épée, ce n’était que pour tomber sur le sol. Avec ses ailes, il repoussa son corps à la verticale. Alors qu’il désirait se lancer, il eut un message… particulier… du dragon. Il passait à l’attaque comme sa mère le lui avait demandé. Sa mère? Surement Maëlyn, et donc lui était son père. Étrange comme sensation, il ne voyait pas vraiment Maëlyn pondre cet immense œuf qu’ils avaient trouvé il y a de cela tant de temps.

Lorsqu’il vit l’effet de l’attaque, l’elfe fut enchanté. Assafiel envoya un court message à Maëlyn *Oh, regarde, notre bébé fait ces dents. Et ne t’inquiète pas, je n’ai pas l’intention de mourir tout de suite. Mais je dois admettre que c’était quand même confortable le… enfin non je t’expliquerai sa plus tard.* Puis il se lança à l’attaque. Ses larges ailes blanches le poussèrent très rapidement vers le dieu du mal, l’attaque fut relativement bref, Assafiel usa aussi du don de ralentir le temps qu’il possédait. De cette façon, le dieu allait même un peu moins vite qu’Assafiel, même s’il pouvait quand même arriver à se défendre.

Le demi-Archange repoussa la lame du dieu puis planta la garde de son épée dans l’estomac du dieu puis releva rapidement le coude, frappant ainsi le nez du dieu qui avait déjà quelques écorchures. Il tenta ensuite quelque cou d’épée puis se retira avant que son avantage ne cesse brusquement. Il se recula de 4 mètres, 5 touts au plus. Juste suffisamment pour être hors de portée d’une attaque directe si son ennemi ne faisait pas un pas. Il tenait sa lame levée, son corps légèrement de côté pour réduire les cibles probables et les yeux fixés dans ceux de son ennemi à qui, d’une certaine façon il ressemblait. Les deux portaient les cheveux blonds, les deux avaient de grandes ailes blanches. Mais c’était Assafiel qui sortirait des enfers en vie.

Voir Arsany les attaquer en premier surpris fortement Elvira. Elle allait répliquer quand le dieu s’éloigna et se tourna vers elle en plantant son épée dans le sol. Elle eu la rapidité suffisante pour éviter le gouffre mais son esquive la dirigea droit vers une pierre qui toucha violemment son épaule. Elle retient un cri de douleur de justesse puis senti un liquide chaud couler lentement le long de son bras. Heureusement, la pierre n’avait fait que créer une coupure, profonde certes, mais qui ne l’empêcherait point de ce battre.

Elle tourna son regard vers Arsany et, en se moment plus que jamais, elle détesta sa parti démon. Cette partie qui la rapprochait du dieu plus que tout autres. Elle se demanda alors brièvement si elle était comme lui avant de perdre la mémoire. Un être cruel qui se satisfaisait des misères des autres. Elle avais toujours osciller dangereusement entre la lumière et la noirceur ne sachant véritablement a quelle coté elle appartenait, mais la maintenant, debout devant ce dieu, elle venait enfin de prendre sa décision. Si tout avant était floues avant dans ça tête, maintenant tout était clair. Peu importe ce qu’elle avait fait dans le passer, peu importe quelle soit a moitié démone ou non, elle irais rejoindre Madriel ou du moins, ferait tout sont possible pour y arriver.

Elle prit une posture de combat et se prépara a attaquer quand un dragon sorti derrière le dieu et le mordit. Elle esquissa un sourire quand elle vit le torrent de flamme arriver tout droit sur le dieu. Quand Assafiel attaqua le dieu, elle ce concentra sur leur combat, prête a attaquer. Quand leur combat se termina, elle saisit sa chance. Elvira courba légèrement le dos, sa queue s’agitant de gauche a droite a la manière d’un chat furieux et les oreilles plaquées sur sa tête. Elle se dirigea alors vers le dieu et abattit son épée qui fut bloqué au premier assaut. Elle lui donna alors un coup de genou dans les cotes puis se recula. Elvira plaça alors son épée de façon à ce protéger d’une attaque éventuelle et se déplaça tranquillement sur le coté. Elle s’attendais a tout venant de cet être maléfique et pour cette raison, elle préférait être prudente.

Le Dieu du mal rageait intérieurement. Le combat ne se déroulait pas du tout comme il l’espérait. Ses ennemis avait une partit de sa puissance ce que ne représentait quelque chose d’énorme. Alors qu’il évaluait les dommages causés par sa première attaque, il sentit pour la première fois de sa vie la douleur physique. En d’autre circonstance il aurait probablement aimé cela mais la morsure du dragon avait transpercé sont armure et fait verser son sang. Le liquide aussi épais que du goudron et ayant la même couleur coula en partit dans la gueule de la bête, ce qui la mettrais hors d’état de nuire pour quelques temps. En effet, le sang d’Arsany, a force d’être exposé au mal pur, et ce durant des millénaire, c’était tranquillement transformé en puissant poison qui pourrait tuer pratiquement n’importe qu’elle créature vivante.

Heureusement, les dragons étant des créatures magiques très puissantes, elle ne serait que paralysé durant quelques heures. Assez de temps pour finir le combat. Alors qu’il se préparait à retourner à l’attaque, un torrent de flamme foncée s’abattit sur le Mal. Il rit à gorge déployé sentant la chaleur brulante entrer dans son armure. Habituer à mater les Balrogs, le feu ne lui faisait plus rien. Par contre, la lame entouré d’un halo blanc arriva sans qu’il ne l’ai prévu et dut l’attraper avec sa main gauche, coupant légèrement sa paume, même au travers de son gantelet de protection.

Ce fut ensuite le tour du demi-Archange d’attaquer. Sa lame s’enfonça dans l’estomac d’Arsany et il reçu aussi un coup de coude et plein dans son heaume. Il para habilement toutes les autres attaques d’Assafiel. Par chance, les organes du Dieu ne furent pas touchés, même si elles ne servaient à rien (Arsany ne mange, ni ne boit depuis sa réclusion en enfer).

Finalement la Néko attaqua. Sa lame fut bloquer mais pas son coup de genoux. Le coup un impact qui fit plus enragé Arsany que le blesser.

Le Dieu ferma les yeux. Doucement le paysage disparut pour laisser place au vide. Tout était noir partout. Il n’y avait plus de ciel, plus de sol, plus de lumière. Il se trouvait maintenant dans l’antre même du Démon. Un sourire se dessina sur les lèvres angéliques d’Arsany. Il prendrait l’avantage…

Il invoqua 4 lances d’ombre, comme celle qu’il avait envoyé à Maëlyn dans sa précédente attaque. Les lances étaient impossibles à voir, même avec les dons de double vue, dans cet endroit. Arsany dirigea son attaque pour que chacune de ses armes se plante dans l’abdomen de chaque combattant. Il fit attention de ne pas les tuer, voulant seulement les blesser pour s’amuser avec eux dans son monde…

HJ : Les lances vous atteigne tous. Arsany veut jouer avec vous car il croit avoir l’avantage absolu dans son royaume. Habituer vous au vide et montrez lui qu’il a tort!!!

Le changement de décor fut si rapide qu'elle ne put réagir à temps. La lance transperça son ventre de façon cruelle et douloureuse et alors qu'elle ressortait dans son dos, Maëlyn se pencha en avant, tout le corps révulsé. Du sang s'écoulait du coin de ses lèvres et elle ne semblait plus aussi sûre d'elle-même. Son sourire avait disparu, mais elle avait toujours cette lueur de défi dans le regard. Elle était prête à y laisser sa vie, tous pouvaient le comprendre. Elle avait, durant le trajet, frôlé la mort très souvent, elle se savait forte, mais si elle devait périr cette fois, elle s'en irait fière et elle le savait.

- JE N'AI PAS PEUR DE LA MORT, PATHÉTIQUE PETIT PSEUDO DIEU!

La fureur avait transformé son visage et elle déploya une partie de sa puissance devant les autres. Tous savaient qu'elle en avait, de la puissance, mais elle y alla avec force. Son corps scintillait à présent et ses yeux n'étaient plus que deux miroirs où se reflétaient ceux du dieu de la mort. Marre, elle en avait marre à la fin. Dans ses mains, de petites boules de lumière étincelantes se succédaient à une vitese folle, fonçant tour à tour vers le dieu qui ne pouvait évidemment toutes les éviter. Elle savait que son rôle était de guérir ses alliés, mais la colère et la douleur de cette attaque imprévue lui faisait oublier ce rôle qu'elle s'était elle-même octroyé. Si on l'avait nommée dans cette prophétie la fille des étoiles, on arait dit que c'était cela qu'elle mitraillait sur l'ange noir, de petites étoiles luminescentes.

Elle cessa l'offensive. Des filaments bleutés sortirent des blessures du demi-dieu, remplaçant son sang et se dirigeant vers la fée qui se guérissait à présent, lasse de toutes ces blessures qui l'affaiblissaient. Ses yeux avaient pris la teinte du sang qu'elle absorbait en énergie fugitive. Elle savait que c'était un poison alors qu'elle voyait son dragon, son bébé, affalé sur le sol, respirant faiblement, mais la magie qu'elle lui appliquait détruisait toute propriété qui n'était pas énergie. Les premiers filament soulagèrent les entailles faites à ses ailes et elle gagna vite la voie des airs où elle était nettement plus agile. Son ventre se guérit ensuite et elle se concentra pour relier les membranes qui s'étaient déchirées.

Quand son propre corps n'eut plus l'air d'un travail de boucher, la couleur des fragments changea pour devenir verte et se diriger vers Assafiel, leur plus puissant élément avec elle. S'il était blessé, il ne serait plus aussi fort. Ses pensées étaient peut-être ailleurs, mais elle savait encore ce qui était le mieux pour leur victoire.

[Ouch, je vais bientôt commencer à faiblir. Vous en faites pas pour moi, avec l'énergie que je puise dans le sang d'Arsany pour tous nous guérir, il va commencer à faiblir, lui aussi. Maë est assez prévisible quand on y pense. Elle donne toujours son 100% dans les combats. Juste à voir le nombre de fois qu'elle perd conscience par manque d'énergie. Petite nature, mon dieu!]

L’elfe se baissa aussi vite que possible, tentant d’éviter la lance mais, elle devait être contrôlé par la magie, C’est alors qu’il sentit le sol se dissipé sous ses pied et que ses yeux perdirent le contact avec la nature. La lance le traversa et la poussa sous le niveau de l’ancien sol. S’évertuant difficilement à reprendre son équilibre, ne sachant trop comment y arriver alors qu’il n’avait rien pour se soutenir, Assafiel ne fut pas que blessé physiquement, mais son orgueil soufra aussi du coup. Après quelque seconde à se débattre férocement contre le manque de gravité qui dé balançait son équilibre, il trouva enfin un moyen de se diriger.

Assafiel, pensa seulement alors à ses ailes et trouva idiot qu’il n’aie pas penser à s’en servir plutôt mais au moins il savait comment venir en aide aux autres maintenant. Par penser, il leur dit que le nouvel environnement, qui tenait de l’inexistence d’un environnement, était malléable par la pensée. C'est-à-dire que pour se déplaces, ils n’avaient qu’à « donner l’ordre » à leurs corps de faire tel mouvement. Après quelque temps d’adaptation ils arriveraient probablement à bouger leurs corps sans être affecté par les coups donné et/ou reçu.

En recevant l’ordre de son esprit, son corps, sans l’aide des mouvements de ses jambes, s’approcha à toute vitesse du dieu. Assafiel souffrait le martyr en ressentant cette arme plongé dans son abdomen mais il tenta de dévier cette douleur pour la transformer en force dans sa prochaine attaque. Assafiel passa sous le corps du dieu, tentant un attaque sur ses pied, il passa ensuite derrière le dieu et sembla faire une pirouette au dessue de son ennemis. Il frappait là ou il pouvait alors qu’il achevait de faire le tour de l’être démoniaque.

L’esprit troublé par cette attaque, Assafiel s’éloigna un peu. Il entreprit alors de couper ce qui avait de surplus de la lance de chaque côté de son corps. Il n’eut alors qu’un cours morceau de bois d’une trentaine de centimètre qui comblait sommairement le trou creusé par l’attaque de son ennemi. Assafiel tenta de se reprendre, il n’avait pas l’habitude de se battre dans un environnement tellement libre qu’il pouvait faire n’importe quel genre de mouvement sans la moindre force. C’était comme si sur terre, la gravité n’existait plus tout d’un coup. Comment aurait-il put prévoir ce genre de chose?

Il sentit alors que Maëlyn s’approchait de lui. C’était une bonne nouvelle, elle venait surement pour le guérir un peu. Il s’entretint mentalement de l’état physique de ses amis et s’assura qu’ils avaient tous compris ces recommandations. Ils pouvaient maintenant faire n’importe quel mouvement, dans n’importe quel sens, peut importe la force physique qui aurait dut être nécessaire. Le meilleur moyen de se servir d’une telle chose étaient de l’attaqué dans des sens originellement impossible. En tournoyant autour de lui à l’horizontale ou à la verticale par exemple. Ce changement était à peine croyable et l’elfe ne savait pas s’il comprenait encore à quel point cela changeait la donne.

Elvira fut particulièrement surprise de ce nouvel environnement qui s’avérait plutôt intéressant. Elle n’eut cependant pas la chance d’aller plus loin dans ces penser gars une douleur fracassante ce répandit dans son corps à partir de son abdomen. Elle se replia sur elle dans une tentative de faire cesser la douleur mais en vain. Pourquoi n’avait-elle pas ressentit cette chose arriver? Elle pensa alors à toute ces bataille entre le bien et le mal. A toute ces guerre ou, d’un coté comme de l’autre, les pertes étaient lourdes. L’histoire ce répétait sans arrête mais avec de nouveaux acteurs. Elle eu envi de lâcher son katana et de partir.

Elle reçu alors le message mental d’Assafiel a propos de leur nouvel environnement de combat. C’était une bonne nouvelle et en même temps une mauvaise, car maintenant ils avaient tous une meilleur liberté de mouvement mais le dieu du mal aussi. Ce message lui redonna espoir et elle ignora alors, aussi bien qu’elle le pu, la douleur qui la traversait toujours et se plaça de façons a être comme les autres. La douleur ce calma alors un peu et elle ressentit Maelyn ce diriger vers Assafiel au même moment ou Amadriel se dirigeait vers Arsany.

Elle n’allait pas laisser se stupide dieu avoir l’avantage sur eux. Elle avança vers le dieu pour attaquer à la suite d’Amadriel. Peut lui importait désormais les blessures que subirais son corps, Arsany tomberait et elle savait que c’était la même chose pour ces compagnons. Elvira avançait lentement vers le dieu, la tête haut, son regard vide semblant fixer quelque chose au delà du dieu devant elle. Elle allait combattre jusqu'à ça propre mort s’il le fallait mais jamais elle ne laisserais tomber et plus jamais elle ne douterait de leur victoire.

Elle parcouru alors rapidement la distance la séparant du dieu et donna un violant coup d’épée en prenant soin de ne pas toucher Amadriel. Un sourire se dessina sur ces lèvres au moment ou un de ses coups toucha le dieu. Elle s’éloigna alors, la blessure a son abdomen la faisant souffrir par la rapidité de ces mouvements. Généralement, elle évitait de combattre blesser ou même d’être tout simplement blesser. Depuis son entré au enfer cella avait changer et elle n’était toujours pas habituer a restreindre ces mouvement en considération de ces blessures. Elle resta alors immobile, souriant toujours, son corps tourner vers cet être immonde afin de lui faire face.

Les yeux du dieu effleurèrent sont travail très réussi, 4 cibles touchés exactement là ou cela se devait. Ce n’était là qu’un sort tout simple et Arsany n’aurait peut-être pas dut se féliciter autant d’une aussi petite victoire. Les mots de la fée vinrent ricocher à ses oreilles. Pathétique petit pseudo-dieu? Lui? Le visage emplis de hargne, le dieu retourna lentement la tête vers la fée. Quel effet étrange qu’il ressentit en voyant la lumière de la fée. Toute cette force, elle ne pouvait pas l’avoir, il n’avait pas perdu tant de force que ça. Il ce regarda un instant, de pourtant très loin, dans les yeux de la fée. Il y lut qu’elle fureur bouillonnait dans le corps de la si petite chose, le dieu du mal eu un sourire en coin qui s’effaça rapidement.

L’arme de petite boule de lumière fonça vers lui avec une vitesse étonnante. Normalement, il aurait laissé ces armes l’atteindre sans broncher mais il sentait que les choses étaient différentes. Il leva la main et devant lui se déploya un bouclier invisible qui était sensé n’avoir à peu près pas de limite d’endurance. Pourtant il se passa quelque chose. Une des lumières égratigna son torse, une autre perça son armure au niveau de la jambe mais sans touché le membre d’Arsany. Rien de problématique, mais une troisième perça aussi la défense faussement indestructible. Celle-ci atteint le casque du dieu, le faisant sauter à une très longue distance avant de s’arrêter dans le vide sans raison apparente. La joue du Seigneur du Mal avait une légère coupure. Il en vit des filaments bleus s’écouler. Sans porter d’attention à ceux-ci, il se retourna vers un autre guerrier qui tentait une attaque.

Sans trop de difficulté, il évita l’attaque de l’elfe des mers et le frappa au coup avec le pommeau de son épée. Le haut elfe tenta aussi un coup, il le vit descendre sous lui, tenter une attaque à ses pieds qu’il empêcha sans problème. Il suivit Assafiel qui tournoya à la verticale autour de lui et parait les coups sans problème, tentant lui-même des feintes. C’est alors qu’un puissant coup d’épée l’atteint dans le dos, la lame perça légèrement l’armure et blessa le fils d’Alarii. Cette fois, c’en était trop pour le dieu. Autour de lui, un immense cercle de feu prit naissance et explosa, éloignant ces ennemis. À l’aide de ses pouvoirs, il attira Assafiel, qui était derrière lui, et le renvoya avec les deux autres, Arsany préférait les gardes tous à l’œil en même temps et sa rendrait les choses tellement plus simple pour lui.

Pauvre fou! Ne savez vous pas que vous n’avez aucune chance de me battre? JE suis un dieu, je détiens suffisamment de pouvoir pour tous vous faire sombrer dans la mort à jamais. Et vous osez me blesser? Vous n’auriez jamais dut me défier, maintenant, vous allez souffrir!

Les yeux du dieu prirent en flammes, son armure se désintégra d’un coup, dévoilant un habit plus léger de cuir mais quand même très solide. Il étendit bras, mains et doigts. De ces derniers, sortirent un très grand nombre d’immenses serpents de flammes qui se dirigèrent à vitesse moyenne vers les guerriers. Au même moment, autour des guerrier du bien, des explosions de lave prirent d’un coup, leurs explosions étant aléatoire en temps et en emplacement il était difficile de les évité. C’était une chance pour eux qu’il soit aussi rare qu’ils les touchent. Lentement, ces explosions prenaient la forme de lac suspendu tout autour des guerriers. Arsany ne craignait pas la lave, il pourrait y plonger sans souffrance, pas ces ennemis. Lorsque les explosions cessèrent, le corps du dieu pompait sa haine plus rapidement qu’il ne l’avait jamais fait. Ses serpents auraient peut-être fait des dommages mais ils n’importaient pas vraiment, tout ce a quoi ils servaient c’était de tenir à l’écart l’ennemis, le temps qu’il mette en place les lacs de lave. Regardant le paysage digne des enfers il sourit, que la prochaine vague commence. Le dieu avait peut-être le souffle un peu plus court, il n’était pas moins dangereux pour autant.